Bibliographie: Fumée Chirurgicale

Fumée chirurgicales: Risques et mesures de prévention

2011 Brigitte Merz, Martin Rügger et Al.    Suisse Lucerne ( Français, 50 pages)

Depuis l’introduction des usages médicaux du laser et des techniques électro chirurgicales, l’exposition aux produits de pyrolyse formés lors des interventions (fumées chirurgicales) est un sujet de préoccupation et d’étude. Les fumées chirurgicales constituent un mélange de substances extrêmement diverses, présentes à l’état de gaz, de vapeurs et d’aérosols liquides ou solides, et pouvant présenter (presque) tous les effets possibles des produits dangereux, locaux ou systémiques, réversibles ou irréversibles. La décomposition thermique des tissus se traduit principalement par une forte odeur qui provoque chez les opérateurs une gêne olfactive pouvant aller jusqu’au dégoût. Enfin, il est établi que les fumées chirurgicales peuvent contenir des éléments biologiquement actifs.

Reducing the Danger of Surgical Smoke

2007  Commission on Accreditation of Healthcare Organizations (Anglais, 3 pages)

There is no such thing as safe smoke.

Fumée et Solution

2012  Présentation PowerPoint de Buffalo Filter  USA (Anglais, 19 pages)

La fumée chirurgicale: Résultat de la destruction thermique du tissu humain pendant des procédures chirurgicales utilisant un laser ou une unité électro-chirurgical.

Risques infectieux et toxiques des lasers

2017  Dr. Jean-Luc MARANDE, APHP Paris  ( Français, 24 pages)

 L’utilisation de lasers lors des interventions chirurgicales est à l’origine de la production de fumées chirurgicales qui contiennent des substances chimiques toxiques, des virus viables, des particules de taille respirable et des cellules vivantes.
 Les fumées gênent la visibilité de l’opérateur, génèrent une odeur désagréable et déplaisante et mettent en danger l’équipe chirurgicale si elles ne sont pas immédiatement aspirées et filtrées à la source.

Les fumées chirurgicales: Constat des connaissances

2010    Travail présenté par  de Séverine DUPONT pour le diplôme d’état d’infirmier de bloc opératoire.  (Français, 54 pages)

A l’issue de ce travail de recherche, je peux constater que les fumées chirurgicales sont peu connues de l’ensemble des professionnels de la santé.
Peu d’études, de recommandations, ou même de certitudes sont actuellement présentes en France. Toutefois je l’espère, ce travail a amorcé un début de réflexion auprès des professionnels interrogés et moi-même. Non seulement au sujet des fumées chirurgicales mais aussi à propos de la démarche de gestion des risques et de la protection du personnel au bloc opératoire.